dimanche 28 octobre 2012

COMmunication interculturelle


 Nous considérons que, pour avoir de succès avec nos interventions sociales, il sera un facteur clé redoubler les efforts pour une correcte communication interculturelle.

D'un côté, les membres et collaborateurs de l'ONG auront avoir une connaissance suffisante du territoire et du groupe social objet du projet d'intervention, a fin de minimiser les possibles dysfonctionnements communicatifs provoqués par l'ignorance des us et coutumes locaux.

Pour ça atteindre, il sera intéressant la réalisation de visites sur le terrain, qui nous permissent d'appréhender par nous-mêmes la réalité de la zone. Une autre initiative à considérer sera que tous les coopérants et volontaires de l'ONG participants dans un projet suivissent un processus de formation, avec une section spécifique sur spécificités communicatives, qui aura lieu, au moins en partie, dans le territoire où nous allons dérouler notre intervention social, en conciliant ainsi théorie et pratique.

En plus, il sera très important effectuer une correcte sélection du partenaire local, de façon que ses membres puissent de nous orienter dans situations de confusion originées à conséquence de la méconnaissance de déterminées conduites communicatives ou, s'il soit nécessaire, d'interpréter les conversations en langues ou dialectes que nous ne dominons pas.

D'un autre côté, nous devrons favoriser les conditions appropriées il soit possible une communication interculturelle efficiente entre les différents groupes d'une même communauté. On doit rappeler que les objectifs principaux de reCOMciliation sont promouvoir le développement communautaire et la réconciliation après-conflit, dans situations où souvient coïncident phénomènes d'exclusion groupale à cause de l'ethnie, le credo, le gendre, etc. Si bien il peut paraître, de notre perspective, que les différences culturelles entre ces sous-groupes seront d'ordre mineur, il ne convient pas sous-estimer leur poids dans les relations interpersonnelles dans ce territoire-là.

Il y a quelques front où on pourra travailler pour atteindre cet objectif. Par exemple :

- L'établissement d'une langue de travail commune. Cette langue ne doit pas être considérée comme une imposition de la contrepartie. Au cas où ce soit impossible, on pourra évaluer la participation de médiateurs qui réalisent aussi la fonction de traduction et interprétation (ces médiateurs devront être acceptés par tous les participants).

- L'organisation de discours, réunions et, en général, n'importe quels types de rencontres où les représentants des différents sous-groupes puissent exprimer leurs points de vue (et plus encore, dans un sens plus vaste, leurs moyens de vie), tout en promouvant un plus grand jugement interculturel (connaissance tant de la propre culture comme celle « des autres ») et l'abandonnement graduel de déterminés préjuges et stéréotypes qui conditionnent les relations humaines.

jeudi 25 octobre 2012

Présentation


Fondements

L'être humain est un animal social, qui requière de l'interaction avec d'autres individus pour atteindre un développement personnel plein. Le dialogue avec d'autres personnes nous permet d'échanger information, tout en enrichissant, pas seulement aux interlocuteurs participants, mais à toute la société.

À côté des contacts interpersonnels directs, les sociétés modernes ont un puissante outil pour la transmission et l'échange de renseignement : les médias. Ces sont considérés par l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'Éducation, la Science et la Culture) comme « instruments clés pour encourager le dialogue, l'entendement réciproque, l'autoexpression, la paix et la réconciliation ». En plus, ils nous permettent de payer plus d'attention à aspects spécifiques des relations humaines, comme la conservation et promotion de la diversité culturelle et linguistique locale, l'intégration des groupes ethniques et sociaux malaisés, l'incorporation des jeunes au marché du travail, la reconnaissance de l'égalité de gendre, etc.


Pour un correct déroulement des fonctions des médias, il est indispensable respecter scrupuleusement la liberté d'expression, car seulement ainsi on pourra atteindre les niveaux d'objectivité et représentativité nécessaires pour que les informations traitées puissent être acceptées comme valides par toute la population. Et ce réquisit est spécialement important en situations de conflit et d'après-conflit, dû au besoin d'entendement dans un contexte de distorsion et manipulation de l'information.
Malheureusement, à cause de diverses problèmes, la liberté d'expression n'est pas une réalité. Parfois, par exemple, l'accès aux médias est interdit à certains groupes ethniques ou sociaux. Dans autres cas, c'est la manque de ressources et une offerte formative insuffisante ou inadéquate dans la communauté celle qui limite la capacité des citoyens pour exprimer leur idées et opinions tel qu'ils voudraient.


Objectifs

Dans la tentative de surpasser ces obstacles, un groupe de personnes engagées a décidé de constituer reCOMciliation, qui adoptera la structure d'une Organisation non Gouvernementale de Développement (ONGD), avec le fin de promouvoir le développement communautaire et la réconciliation après-conflit moyennat la création et soutien des médias locales participatives et inclusives.

Toujours en relation avec l'objectif général antérieur, on payera attention à d'autres objectifs spécifiques et complémentaires, comme fomenter l'égalité de gendre, facilite l'incorporation des jeunes au marché du travail, etc.


Localisation

La siège centrale de reCOMciliation sera en Espagne, mais avec la vocation de constituer comités nationaux dans tous les pays ou il soit possible.

Les projets d'intervention sociale auront place :
- Dans des pays en voie de développement et des pays ou il y ait eu un conflit récent (généralement, armé). Dans ce cas, les projets de l'organisation seront orientés majoritairement à l'Áfrique et l'Amérique Latine, dû à la spéciale incidence dans ces territoires des situations citées auparavant, ainsi comme à l'existence de traits historiques et culturels communs.
- Dans des pays développés. Plus spécifiquement, dans ceux où il y ait un comité national de l'ONGD. On déroulera des campagnes de sensibilisation, autant pour adultes comme pour enfants et jeunes, sur l'importance des médias dans le développement communautaire.